• LE FFS EST LE SEUL VRAI PARTI D'OPPOSITION ALGERIE
    QUI EST POUR UN ETAT DE DROIT ,une véritable democratie
    pour le depart du systeme voyou ,mafieux et corrompu

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  • Le premier secrétaire a réussi ce week-end au Mans à fédérer les courants internes du PS en vue de la présidentielle de 2007. Le candidat socialiste doit être désigné en novembre 2006.

    "Si j'ai fait le rassemblement, c'est pour être utile : pas utile à mon parti, pas utile à la gauche, utile à la France", a déclaré François Hollande au micro de RTL.

    "Ce qui m'importe, ce n'est pas de savoir qui a gagné, qui a perdu (...) Ce qui m'intéresse, c'est est-ce qu'on fait oeuvre utile? (...) Je le crois parce qu'aujourd'hui les Français savent qu'il y a une alternance possible en 2007, un Parti socialiste fort, une gauche qui peut se rassembler, un projet pour la France", a-t-il estimé.

    Malgré la "synthèse générale" conclue au Mans, beaucoup s'interrogent sur la solidité de ce rassemblement face à la multiplication des velléités présidentielles au sein du PS.

    "Ce sera en novembre 2006 que l'on désignera le candidat, pas en novembre 2005. Je ne suis pas là pour savoir lequel d'entre nous. Je ne fais pas de classement, pas de palmarès", a insisté le premier secrétaire.

    A ses "amis" et nombreux "talents" du PS, François Hollande demande de se "mettre au service" du PS et de la France. "C'est la meilleure façon par laquelle vous servirez votre propre cause", a-t-il estimé, interrogé sur ses propres ambitions.

    "Prenez ce que je vais vous dire au pied de la lettre : je suis premier secrétaire, rien que premier secrétaire et pleinement premier secrétaire et je ne vais pas faire ce que je demande aux autres de ne pas faire", a-t-il expliqué.

    En août 2004, François Hollande laissait entendre qu'il pourrait être candidat à la candidature socialiste pour 2007. Il a précisé cet été qu'il ne serait plus "à l'évidence" à la tête du PS après l'élection présidentielle, et le congrès du Mans lui a permis de s'afficher comme le grand rassembleur.

    "Je ne suis pas là pour essayer une nouvelle fois de tirer une couverture trop courte vers l'un ou l'autre. Je n'ai pas besoin pour m'habiller de dénuder l'autre", a-t-il ajouté.



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  • Le FFS sera majoritaire aux APC et APW”, a déclaré Ali Laskri.

    La ville de Naciria (wilaya de Boumerdès) a accueilli, hier, M. Ali Laskri, premier secrétaire national du FFS. En effet, le leader du plus vieux parti de l'opposition a animé un meeting en plein air sur la placette publique dans une ambiance amicale où il s'est adressé aux militants et sympathisants du parti.
    Ali Laskri a ouvert son meeting en fustigeant, dans un long réquisitoire, tous les responsables qui ont détenu le pouvoir depuis l'Indépendance jusqu'à aujourd'hui. “Il faut réhabiliter le Congrès de la Soummam qui a insisté sur la primauté du politique sur le militaire ; or nous sommes en 2005 et les Algériens n'ont pas acquis tous leurs droits.” Et d'ajouter que “les Algériens qui s'intéressent à la politique se voient toujours interdire d'espaces d'expression”. C'est pourquoi, a-t-il expliqué, que le FFS continue à réclamer son slogan des années 90 qui consiste à “exiger le droit d'avoir des droits”. Au sujet des événements vécus par la Kabylie, Ali Laskri n'a pas mâché ses mots en affirmant que “ces événements ont été programmés dans les laboratoires de la police politique” et de qualifier les archs, sans les nommer, de machine de destruction. “On a substitué un mouvement citoyen qui allait s'étendre à tout le pays à une simple machine de destruction de la Kabylie.” Abordant la paix et la réconciliation, Ali Laskri a indiqué “qu'il n'y a ni paix ni réconciliation tant que les assassins des milliers d'Algériens et de Matoub Lounès courent toujours”. Et de s'interroger sur le silence troublant des pouvoirs, notamment de l'ENTV sur la profanation des tombes de Abane Ramdane et d'Ali Mellah.
    Le premier secrétaire du FFS s'en prendra également aux partis de l'alliance présidentielle qui “n'ont pas réagi aux détournements des prérogatives de leurs élus, interdits d'attribuer des logements à leurs concitoyens”.
    Par ailleurs, le chef de file du FFS a animé un autre meeting avant-hier au centre culturel de Larbaâ Nath-Irathen (Tizi Ouzou) où il a clairement signifié que la formation de Hocine Aït Ahmed “sera majoritaire aux assemblées communales et à l'APW”. Comme il n'a pas manqué d'insister sur la bonne surveillance des urnes le 24 du mois en cours afin d'éviter la fraude qui se prépare, selon ses dires.


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  • Le 24 octobre 2005, six jeunes personnes ont été condamnées par le tribunal de Vgayet (Bougie) à trois et six mois de prison ferme pour n'avoir pas observé le jeûne pendant le mois de ramadhan qui vient de s'écouler. « L'arrestation des mis en cause, dont une partie a fait l'objet d'une procédure de flagrant délit, fait suite à une note de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) émise la veille du Ramadhan et qui prévient que tout citoyen surpris par les agents de l'ordre public en train de manger de manière « ostentatoire » durant ce mois sera interpellé et présenté devant la justice », rapporte le quotidien El watan.
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    Ce fait divers qui prêterait à sourire en ce début du troisième millénaire n'en est pas moins gravissime dans la mesure où ses conséquences pourraient avoir des prolongements dangereux pour l'avenir de notre société. D'abord, il y a les victimes privées de leur liberté et sur lesquelles l'expérience de la prison laissera certainement d'importantes séquelles alors qu'elles n'ont enfreint aucune loi de la République.

    Ensuite, au nom de quel principe et depuis quand une circulaire administrative de la DGSN a-t-elle valeur de loi pour un magistrat du Parquet ? Ce cas va-t-il faire jurisprudence ?

    Tout porte à croire que c'est là, plutôt, une décision politique qui traduit, dans les faits, un début d'application de « la charte pour la paix et la réconciliation nationale » et qui scelle l'alliance de l'arabisme du pouvoir d'avec l'islamisme des maquis, contre la Kabylie. Celle-ci, dont la pratique religieuse est spécifique, loin de tout zèle, a de tous temps érigé la tolérance au rang de vertu cardinale. Ainsi, sans jamais s'en offusquer, elle a toujours connu des « mangeurs de ramadhan » et des femmes et des hommes qui ont vieilli sans qu'ils aient, un jour, fait la moindre génuflexion pour les prières de l'islam.

    Il ne manque pas d'endroits en Algérie où de jeunes adultes ne respectent pas le ramadhan. Toutefois, c'est en Kabylie qu'il fallait frapper pour donner l'exemple et, surtout, un avant goût de la future évolution du régime qu'appellent de ses vœux le couple Bouteflika –Belkhadem, dans les années à venir : le régime islamo-baathiste. Avec le référendum du 29 septembre 2005, on nous promettait la paix, aujourd'hui, nous avons l'inquisition. La régression du champ des libertés telle que programmée a commencé. Au moment où le régime amnistie les criminels de sang, les terroristes islamistes, au moment où il couvre les profanateurs de tombes de martyrs de l'indépendance en en niant la réalité, il met en prison de pacifiques et respectables citoyens qui, naïvement, croyaient pouvoir jouir en 2005 de leur droit constitutionnel en matière de liberté de culte, dans leur pays.

    Une fois de plus, le pouvoir se couvre de ridicule et s'apprête à s'embourber dans une voie aux conséquences dramatiques pour les démocrates.

    Le Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie alerte l'opinion nationale et internationale sur les dérives actuelles de l'Algérie officielle dans le domaine du respect des Droits Humains et appelle les ONG à réclamer la remise en liberté immédiate des six personnes emprisonnées pour délit religieux imaginaire.


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  • PARIS (Reuters) - Le gouvernement a décidé d'étendre pour trois mois l'application de la loi de 1955 sur l'état d'urgence, après une 18e nuit de violences urbaines marquée toutefois par une nette tendance à l'apaisement.

    "C'est une mesure de protection et de précaution", a déclaré en conseil des ministres le président Jacques Chirac, cité par le porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé.

    Le chef de l'Etat a jugé cette mesure d'exception "nécessaire pour donner aux forces de l'ordre tous les moyens dont elles ont besoin pour ramener définitivement le calme" dans les banlieues françaises en ébullition depuis le 27 octobre.

    "Bien entendu c'est une mesure strictement temporaire et qui ne s'appliquera que là où elle est strictement nécessaire et en plein accord avec les élus", a-t-il ajouté.

    Jacques Chirac devait faire lundi soir à la télévision et à la radio une déclaration sur la situation dans les banlieues. Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, est resté une vingtaine de minutes à l'Elysée après le conseil des ministres.

    Le projet de loi prolongeant à partir du 21 novembre l'application de la loi de 1955, adoptée durant la guerre d'Algérie, a été approuvé par un conseil des ministres exceptionnellement avancé de deux jours. Il sera examiné mardi par l'Assemblée nationale et jeudi par le Sénat.

    Sur le terrain des troubles, la nuit de dimanche à lundi s'est soldée par 286 véhicules incendiés (au lieu de 374 la nuit précédente), dont 68 en Ile-de-France (au lieu de 76) et 216 en province (contre 298), a déclaré le directeur général de la police nationale (DGPN).

    Lyon et Toulouse ont encore été des foyers actifs.

    Michel Gaudin a souligné que sur 120 communes concernées, une dizaine seulement avaient été le théâtre de plus de cinq incendies de véhicules. Il n'y a eu ni bâtiments publics détruits ni affrontements entre fauteurs de troubles et policiers.


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